Nom équivalent pour un élément, un attribut ou une valeur d'attribut de type de document. Les alias sont définis dans l'Editeur de dictionnaire d'alias, qui crée un fichier de règles de conversion .alias.

La fenêtre dans laquelle vous pouvez créer un dictionnaire d'alias pour un type de document L'éditeur de dictionnaire d'alias se trouve dans Arbortext Architect.

Les fichiers dans lesquels sont stockés les alias créés dans l'Editeur de dictionnaire d'alias. Ces fichiers portent l'extension .alias. Après avoir créé les dictionnaires d'alias, vous pouvez les appliquer aux types de documents dans Arbortext Editor.

Utilisé dans l'Arbortext Object Model, un attribut correspond à des données qui peuvent être retrouvées à partir d'une interface. Un attribut peut être de lecture seulement, signifiant que sa valeur peut être retrouvée, ou de lecture-écriture, en signifiant que sa valeur peut être retrouvée ou changée. Un attribut est différent d'une méthode en ce que retrouver ou déterminer les paramètres d'une valeur d'attribut ne produit aucun changement à l'état de l'interface ou du document XML sous-jacent.

Utilisée dans l'Arbortext Object Model, une interface correspond à un jeu d'attributs et de méthodes. Un programmeur C++ peut décrire une interface comme une classe de basse abstraite.

Utilisée dans l'Arbortext Object Model, une méthode correspond à un moyen de produire des changements dans une interface ou le document XML sous-jacent. Une méthode est essentiellement un sous-programme. En appelant une méthode, l'utilisateur produit une changement dans le document.

L'Arbortext Object Model est une couche interface conçue pour permettre aux programmeurs non ACL de disposer de plus de fonctionnalités ACL. Une fonctionnalité importante est fournie par support pour le standard du W3C Document Object Model (DOM). De plus, les DOM seront augmentés d'interfaces, d'attributs et de méthodes supplémentaires. L'AOM gère les liaisons avec C++, Java et COM (Component Object Model).

Terme de typographie décrivant la hauteur d'une lettre minuscule qui dépasse la hauteur de x par rapport à la ligne de base. Les lettres suivantes comportent un jambage supérieur : b, d, f, h, k, l et t.

American Standard Code for Information Interchange, code standard américain pour l'échange de données Jeu de caractères standard composé de 256 lettres et chiffres sans mise en forme.

Format de fichier courant composé principalement de caractères ASCII imprimables. Extrait d'un fichier ASCII comportant des éléments :

Les fichiers ASCII ne contiennent pas nécessairement de balisage.

Caractéristique nommée associée à une occurrence particulière d'un élément. Les attributs fournissent des informations supplémentaires sur les éléments comme leur nom d'identification unique, le statut d'un document, etc. Dans les feuilles de styles, les attributs sont appelés des caractéristiques. Les relations qui existent entre des attributs et des éléments sont semblables à celles qui existent entre des adjectifs et des noms. Par exemple, si le nom chaise était un élément, l'adjectif rembourrée serait l'un de ses attributs.

Liste déclarant les attributs autorisés pour les éléments.

Valeur des attributs. Par exemple, les valeurs possibles pour l'attribut style d'un élément list sont bulleted, alphabetic ou numeric.

Référence qui est automatiquement remplacée par le numéro de figure, d'image ou de tableau correct, même si la structure référencée est déplacée dans le document.

Elément le plus élevé dans la hiérarchie structurale d'un document. L'élément de base contient — ou, en quelque sorte, entoure — tous les autres éléments de la structure du document. Cet élément est parfois appelé doc ou document.

Ligne horizontale imaginaire sur laquelle sont alignés les caractères d'une ligne de texte.

Lorsque le suivi des modifications est activé, il s'agit de la vue du document qui affiche le texte d'origine et le balisage y compris les changements vérifiés et acceptés.

La spécification de sortie définit les règles qui déterminent quel e-i-c constitue la meilleure correspondance pour un élément d'un document en fonction du contexte et de l'occurrence. La meilleure correspondance de chaque élément définit le formatage pour l'affichage et l'impression.

Elément qui isole le texte qu'il contient du reste du document. Un bloc est défini par un espace qui le précède ou le suit et par d'autres éléments de formatage (comme la mise en retrait) qui signalent sa présence.

Marqueurs nommés permettant de définir une position dans un document. Un document peut en contenir un nombre illimité.

Dessin d'un cadre autour d'un élément.

(Egalement appelé catalogue). Le catalogue est un fichier utilisé par le gestionnaire d'entité pour mapper des noms logiques à des objets de stockage.

Regroupement logique de caractéristiques de formatage. Exemples de catégories : font, indentation, hyphenation, leading, word spacing, border, etc. Les différentes caractéristiques FOSI spécifient les détails concernant le mode d'application de chaque catégorie.

Héritage de caractéristiques manquantes d'une catégorie pouvant être héritée, par exemple font ou indentation. L'héritage de catégorie concerne généralement les blocs.

Comité consultatif international télégraphique et téléphonique. Ce comité élabore des normes sur la création, le stockage et la transmission des images matricielles comme les télécopies.

Texte composé de caractères déclarés dans le jeu de caractères du document. Les références d'entités ou de caractères incorporées sont considérées comme des caractères et ne sont pas résolues par le parseur.

Computer Graphics Metafile, métafichier graphique informatique. Norme indépendante du périphérique et consacrée à la description, au stockage et à la transmission d'images vectorielles.

Ligne ou barre verticale, dont l'affichage dans la zone des marques de révision est déclenchée par la présence d'un certain élément.

Consultez l'entrée relative à CDATA.

Processus qui consiste à convertir une séquence d'octets en une séquence de caractères. Ainsi, ISO-8859-1 est un modèle de codage utilisé pour la plupart des langues d'Europe de l'ouest et UTF-8, pour le jeu de caractères ISO 10646 (UCS).

Permet de représenter un caractère qui est invisible à l'écran, a une fonction particulière ou ne figure pas sur le clavier. Il s'agit, par exemple, des accents, des symboles mathématiques et des lettres grecques.

Catégorie de feuille de styles qui définit le caractère à répéter. Il est inséré dans la sortie en utilisant la catégorie répétitive usetext. L'exemple d'utilisation le plus courant est les points de suite dans les sommaires.

Liste de caractères définie et reconnue par des ordinateurs, chaque caractère étant représenté par une valeur. Ainsi, le jeu ASCII utilise les valeurs de 0 à 127 pour représenter les caractères de l'alphabet anglais et le jeu Unicode représente plus de 65 000 caractères uniques.

Spécification de formatage dans une catégorie. Le concept FOSI équivalent est l'attribut. Par exemple, la catégorie de saut de texte comporte des caractéristiques de début de ligne et de fin de ligne.

Héritage de toutes les caractéristiques absentes des catégories qui peuvent être héritées. L'héritage des listes de caractéristiques est utilisée avec les éléments en ligne et les pseudo-éléments.

Terme de la spécification de sortie s'appliquant à un style set dans Arbortext Editor. Un jeu de styles contient une ou plusieurs catégories de formatage et peut être appliqué à un nombre quelconque d'e-i-c. Les modifications apportées au jeu de styles sont répercutées sur tous les e-i-c qui le référencent.

Acronyme de Chinese, Japanese et Korean (chinois, japonais et coréen).

Ordre de tri utilisé dans un index.

Ligne ou groupe de lignes qui figurent au sommet d'un tableau et constituent le titre des informations qui suivent. Le ou les en-têtes sont répétés au début des pages si le tableau occupe plusieurs pages après composition.

Affichage d'un document dans Arbortext Editor qui associe une vue structurelle à un ensemble de lignes et de colonnes, comparable à une feuille de calcul, et qui permet d'afficher et de modifier les valeurs des attributs.

Sections verticales de contenu imprimable.

(Component Object Model) Mécanisme de Microsoft Windows dans lequel une API (Application Program Interface) est exportée par un programme serveur et utilisée par un programme client dans le même processus ou dans un processus distinct.

Champ affiché en bas de la fenêtre Edition de Arbortext Editor, qui permet de communiquer avec le programme sous-jacent pour exécuter des commandes ACL. Les opérations de fichier, la personnalisation des menus et la création de raccourcis clavier sont effectuées sur la ligne de commande.

Méthode permettant d'insérer des informations textuelles utiles dans un document. Le texte des commentaires n'apparaît pas en sortie de composition ou de prévisualisation.

Processus par lequel des fichiers lisibles par l'ordinateur sont créés dans le répertoire de type de document y compris un fichier de feuille de style minimale (.xsl).

Vérification portant sur la présence dans un document de tous les composants requis par le type de document. L'outil Arbortext EditorVérifier l'intégrité fournit la liste des erreurs d'intégrité et insère automatiquement des balises d'éléments manquantes lorsqu'un seul choix est possible.

Objet chargé de la composition d'un document. Cet objet est contrôlé par un ensemble de paramètres et implémenté en tant que pipeline de filtre SAX spécifié à l'aide du fichier de configuration du composer.

Document XML utilisé pour définir et contrôler un processus de composition. Ce document est conforme au type de document Composer (chemin-Arbortext/doctypes/composer/composer.dtd). Ce document contient des sections qui définissent des paramètres du composer, des ressources de filtre et une séquence de traitement. Les fichiers de configuration du composeur portent l'extension .ccf.

Spécification <att> FOSI qui définit les critères permettant de spécifier la mise en forme du texte, généralement en utilisant la valeur d'un attribut, une fonction ACL, une variable d'environnement, une valeur renvoyée par une fonction ACL ou une valeur de variable FOSI.

Personnalisation des fonctions d'un logiciel, généralement effectuée par un administrateur système.

Voir référence de contenu.

Portion d'une déclaration de type d'élément SGML ou XML qui définit l'ordre et la combinaisons des éléments, pour, par exemple, préciser les types d'éléments pouvant contenir d'autres éléments des types spécifiés.

Mécanisme de l'architecture DITA par lequel un élément peut s'auto-remplacer par le contenu d'un élément équivalent, dans la rubrique en cours ou dans une rubrique similaire qui partage le même modèle de contenu.

Emplacement d'un élément par rapport à ceux qui l'entourent dans la structure globale du document.

Le contexte est appelé selector (sélecteur) dans les feuilles de style en cascade (CSS). Le terme XSL correspondant est pattern (modèle).

Opération qui applique un ensemble de règles sur le contexte, c'est-à-dire les rapports entre les éléments (par exemple, les paragraphes sont situés dans des chapitres, mais ces derniers ne peuvent pas être inclus dans des paragraphes). Les règles de vérification du contexte d'un type de document sont déterminées par la DTD ou le schéma de ce type de document.

Elément d'un fichier .dcf permettant d'effectuer automatiquement des modifications pour corriger le contexte quand des éléments et du texte sont collés d'un contexte dans un autre.

Références situées dans le texte et désignant des tableaux, des images ou d'autres documents. Les attributs et les valeurs d'attributs sont utilisés pour établir un lien avec la structure référencée.

Cascading Stylesheet, feuilles de styles en cascade. Mécanisme permettant d'associer des informations de style comme les polices, les couleurs et l'espacement à des documents HTML en séparant la présentation et le contenu. Le terme "en cascade" signifie qu'un document peut fusionner plusieurs feuilles de styles. Par exemple, un document peut utiliser les feuilles de styles du navigateur, du créateur et de l'utilisateur. Les navigateurs compatibles avec les versions 3.2 et ultérieures du HTML prennent également en charge la norme CSS.

Feuille de style qui contrôle l'affichage dans le volet d'édition, ainsi que le format des informations imprimées par la fonction Imprimer l'affichage de l'Editeur et est paramétrable grâce aux options du menu Format relatives aux feuilles de style. Il est possible de sélectionner une feuille de styles développée pour l'impression (sortie composée) et de l'utiliser comme feuille de styles de l'éditeur courant. Pour modifier une feuille de styles d'impression, vous devez la sélectionner comme feuille de styles de l'éditeur courant.

La feuille de style de l'éditeur courant est également utilisée comme feuille de style de l'impression courante si aucune feuille de style d'impression n'a été expressément sélectionnée dans la boîte de dialogue Sélectionner la feuille de style ou avec la commande set printstylesheet.

La feuille de styles courante sélectionnée pour les fonctions Imprimer l'affichage composé et Aperçu avant impression. Cela peut être modifié à l'aide de la boîte de dialogue Sélectionner la feuille de style ou de la commande set printstylesheet. Elle peut également être redéfinie dans les boîtes de dialogue Aperçu avant impression et Imprimer l'affichage composé.

La feuille de styles de l'éditeur courant est également utilisée comme feuille de styles de l'impression courante si aucune feuille de styles d'impression n'a été expressément sélectionnée. Lorsque la feuille de styles de l'impression courante diffère de celle de l'éditeur courant, la feuille de styles d'impression est sans incidence sur la fonction Imprimer l'affichage de l'Editeur ; la feuille de styles de l'éditeur courant détermine le formatage de l'affichage de l'éditeur, même lors de l'impression. Par ailleurs, la sortie composée peut être utilisée à d'autres fins que la création de tirages papier.

(Distributed Component Object Model) Version d'un mécanisme de Microsoft Windows appelé COM qui prend en charge les liaisons de programmes lorsque le client et le serveur sont exécutés sur des ordinateurs différents.

Eléments, généralement situés au début du document, qui fournissent des informations sur les fonctions utilisées pour baliser le document.

Noms ou numéros utilisés pour identifier une balise, comme un paragraphe ou une image, afin d'y faire référence depuis une autre partie du document.

Symbole indiquant le début ou la fin d'une balise, d'une macro, d'une déclaration, d'une instruction de traitement, etc. (par exemple, dans la balise <doc>,, le signe "inférieur à" (<) est le séparateur de début, doc est le nom du type d'élément et le signe "supérieur à" (>) est le séparateur de fin).

Partie d'une lettre minuscule qui se prolonge sous la ligne de base. Les lettres suivantes ont un jambage inférieur : g, j, p, q et y.

Elément décrivant la structure et d'autres attributs d'un document d'une manière indépendante du système (également appelé élément générique).

Equation qui apparaît sur une ligne distincte.

Darwin Information Typing Architecture. Standard de l'OASIS qui définit une architecture permettant de créer du contenu de type informatif orienté rubrique, pouvant être réutilisé comme source unique de différentes façons. Cette architecture permet également de créer de nouveaux types d'informations et de décrire de nouveaux domaines d'informations basés sur des types et des domaines existants. Le standard fournit un ensemble de DTD et de schémas XML pour les types de rubrique de base, tels que concept, tâche ou référence, et pour les documents de type plan utilisés pour collecter les références de rubrique.

Eléments de la structure d'un document, comme les chapitres, les sections, les rubriques et les sous-rubriques.

Autre terme désignant la base documentaire.

Ensemble de données traitées globalement, représentées par une série de caractères, et organisées physiquement avec une structure d'entités et logiquement avec une structure d'éléments.

Opération consistant à décomposer un document en objets de document pour le stocker dans un système de gestion de contenu. La spécification décrivant le découpage des documents est stockée séparément du contenu de ces derniers.

Relations entre les parties d'un document, comme un titre qui apparaît en premier dans un chapitre et les paragraphes qui sont insérés après les titres, et non avant.

Base de données qui vous permet de stocker des documents y compris du texte, des graphiques, des images numérisées et d'autres formats. Une base de données documentaire contient les informations et le contenu du document notamment son auteur, son objet et sa date de création.

Document, partie d'un document, graphique ou autre composant d'un document stocké dans une base documentaire.

Spécifications de formatage par défaut du texte, utilisées si aucun autre formatage n'est défini. La spécification de sortie utilise le terme docdesc.

Vue structurelle du document.

Squelette d'un document, composé des éléments de document.

Une feuille de style qui est automatiquement associée à un document particulier, selon son emplacement dans le répertoire des documents et son nom, qui correspond au nom du document indiqué.

Nom qui suit le mot-clé DOCTYPE dans une déclaration de type de document.

Ensemble de fichiers associé à une définition de type de document (.dtd). Cet ensemble peut inclure des fichiers .dcf, .xsl, .fos, .xml, .sgm, ainsi que plusieurs autres types de fichiers.

Document XML utilisé pour personnaliser un type de document. Il est conforme à la DTD de configuration du type de document (chemin-Arbortext/doctypes/dcfdtd/dcfdtd.dtd). Les fichiers de configuration du type de document peuvent contenir des sections qui annulent l'affichage par défaut des éléments, l'ajout de types de document à la boîte de dialogue Nouveau et la spécification des éléments à ignorer au cours de la vérification orthographique. Ces fichiers sont enregistrés au format doctype.dcf et stockés dans le même répertoire que le type de document.

Déclaration générale du type de document défini (par exemple, note, lettre ou livre). Elle contient notamment une série de déclarations qui définissent la structure du document et un identificateur système ou public de la DTD. Elle est annoncée par le nom réservé DOCTYPE.

Liste des utilisateurs qui ont modifié un document alors que la fonction de suivi des modifications était active. La liste des utilisateurs du document est enregistrée dans le document avec les propriétés de chaque utilisateur de la liste.

(Document Object Model) Interface indépendante de la langue et conforme aux normes qui permet de consulter et de modifier un document SGML ou XML.

Objet DOM qui représente un document Arbortext Editor.

Entier univoque qui identifie un objet DOM dans ACL.

Représentation distincte d'un document ou d'une partie de document, comme une paire de balises ou un bloc de texte. Egalement appelée nœud DOM. Un objet DOM peut en contenir d'autres. Par exemple, un objet Document peut contenir des éléments (balises), qui peuvent eux-mêmes contenir d'autres éléments et du texte.

Document Type Definition. La DTD décrit et définit le vocabulaire du balisage dont le SGML ou le XML fournit la syntaxe. Une DTD est constituée d'une série de déclarations d'entités, de types d'élément, de listes d'attributs et/ou de notations, combinées pour déterminer la structure d'un document. Une DTD contient une série de DTD qui définit la structure des types de document et des informations sur la signification (sémantique) des types d'élément définis dans la série de DTD.

Outil d'édition constitué d'une fenêtre qui affiche la structure d'un document. Il permet d'insérer du balisage à des emplacements valides.

Terme FOSI qui signifie élément en contexte ("element-in-context"). Par exemple, un élément title au sein d'un élément chapter peut comporter un autre e-i-c qu'un élément title à l'intérieur d'un élément figure. Le contexte de l'élément title signifie que chacun peut être formaté de manière différente en fonction de son emplacement.

Principale zone de travail utilisée pour créer et modifier des documents dans Arbortext Editor, aussi appelée fenêtre d'édition.

Composants de données qui constituent un document. Contrairement aux types d'élément, les éléments ne sont pas abstraits.

Classe d'éléments présentant des caractéristiques comparables. Tous les éléments d'un même type doivent disposer du même jeu d'attributs (bien que les valeurs de ces attributs puissent être différentes). Ils doivent respecter les mêmes restrictions concernant les éléments secondaires et/ou les chaînes de données brutes qu'ils peuvent contenir et concernant l'ordre de ces derniers.

Déclaration des types d'élément susceptibles d'apparaître dans un document du type spécifié et de l'ordre dans lequel ces éléments peuvent apparaître.

Nom donné à un type d'élément. Les noms de type d'élément sont entourés de séparateurs de début et de fin de balise.

Espace proportionnel aussi large que le rectangle entourant un caractère (en général, cet espace est aussi large que la lettre m, qui est la lettre la plus large dans une police proportionnelle). Dans une police en corps 6, l'espace cadratin mesure 6 points de large ; de même, dans une police en corps 18, il mesure 18 points de large.

Bloc de données autonome qui peut être référencé globalement. Les entités peuvent contenir du texte, comme une mention-type, ou une série de DTD. Elles permettent d'insérer facilement dans un document les caractères, les expressions et les paragraphes les plus courants, ou d'importer des unités d'information distinctes (images ou fichiers externes, par exemple). Dans un système, un même document peut être stocké en plusieurs parties situées à des emplacements différents.

Déclaration des entités utilisables dans un document. Dans une DTD, une déclaration commence par le mot-clé ENTITY. Il existe deux types de déclarations d'entité :

Permet de définir si des entités sont affichées dans la fenêtre Edition sous forme de balises ou de texte.

Les entités sont appelées par les références qui figurent dans les éléments d'un document. Une référence d'entité permet de demander l'insertion de l'entité correspondante en un point précis du document. L'entité doit être définie précédemment dans le document ou en externe.

Catégorie de feuille de styles qui permet d'incrémenter la numérotation automatique.

Affichage du contenu entouré des balises pour édition en texte intégral.

Entité qui existe indépendamment et à l'extérieur des déclarations qui l'identifient pour permettre de la référencer ultérieurement.

Série de DTD qui est référencée dans la déclaration de type de document par l'identificateur public ou système de cette DTD.

Fichier externe inclus dans le document par référence.

Terme utilisé dans la Spécification de sortie pour désigner le concept appelé Utiliser la valeur dans Arbortext Editor. Fillval utilise la valeur d'un attribut d'un document comme valeur d'une caractéristique de formatage ou comme texte. Par exemple, un attribut de document peut être utilisé dans la feuille de styles pour indiquer le nombre de colonnes ; un attribut pubno peut être inséré comme numéro de publication en pied de page.

Programme qui traite un flux de données en entrée dans un flux de données en sortie d'une manière bien définie. Il est conçu pour être utilisé en tant qu'étape du pipeline de composition. Un filtre pur n'effectue pas d'autres entrées et sorties si ce n'est, peut-être, sur des conditions d'erreur. Les données à traiter dans un filtre de composition sont représentées en tant que séries d'événements SAX.

Caractéristique FOSI qui permet de déplacer du texte, des graphiques et des tableaux vers un emplacement différent de celui où ils étaient placés dans le document d'origine. Ceci a pour but de réduire les espaces blancs et d'obtenir un flux de texte continu.

Emplacement actif. Si deux fenêtres sont ouvertes, celle qui contient le curseur a le focus ; elle est modifiée si des commandes sont saisies sur le clavier. Appuyer sur Alt déplace le focus vers la barre de menus ; les touches de direction peuvent alors être utilisées pour sélectionner un menu déroulant.

Série complète de caractères dans une police particulière.

Agrandissement ou réduction de la taille du texte ou des balises à l'écran. Ce paramètre ne modifie pas le formatage du document ; il ne s'applique qu'à l'affichage.

Sortie produite à la suite du formatage de feuilles de styles. Le fichier utilisé en entrée reste inchangé. Une sortie formatée est également appelée sortie composée.

Formatting Output Specification Instance. Feuille de styles qui s'applique à tous les documents d'un type donné. Une FOSI contient des informations de formatage pour tous les éléments d'un document.

Permet de définir l'apparence de la fenêtre du navigateur quand un document est affiché. Un jeu de cadres contient la feuille de styles, les images de frameset (les boutons et les puces, par exemple), les scripts de navigation du site, les fichiers HTML et les images de contenu.

Structure de données interne en arborescence représentant l'instance de document qui définit une structure de formatage indépendante de la sortie. Les structures de formatage, appelées nœuds ftree, comportent des attributs issus d'une feuille de styles appliquée à l'instance, comme une FOSI.

Processus DITA par lequel un domaine ou un type d'information spécialisé peut être associé à son domaine ou à son type d'information ancêtre.

Processus consistant à indiquer les éléments identifiés, comme les paragraphes, les en-têtes, etc., sans définir la représentation or fonction visuelle finale. Egalement appelé balisage explicite.

Texte prédéfini automatiquement produit par la feuille de style de votre document lors de la publication de ce dernier. Le texte produit est composé de compteurs de liste, de la numérotation de section, de tables des matières et d'index.

Nom de balise d'un élément.

Ensemble logique de relations de subordination et de supériorité entre les éléments d'un document.

Opération consistant à couper un mot à la fin d'une ligne pour améliorer la justification du texte.

Catégorie FOSI utilisée dans Arbortext Editor pour indiquer la position horizontale des marges gauche et droite et de la première ligne d'un élément de bloc.

Liste triée offrant d'autres points d'accès aux informations d'un document. L'index diffère de la table des matières ou d'une liste d'illustrations, car il présente les informations dans un ordre différent. En effet, les tables des matières et les listes d'illustrations reflètent les informations telles qu'elles sont présentées dans le document alors que les index fournissent d'autres points d'accès à ces informations.

Couples rubrique-localisateur qui composent un index. La rubrique est le point d'accès de l'index. Sur le papier, le localisateur est généralement le numéro qui désigne une page. A l'écran, le localisateur est généralement un lien hypertexte.

En-têtes des sections qui sont placées dans les index pour faciliter l'accès aux informations. Par exemple : A-C, Intel 286-Intel 486 ou 1-99. Les chiffres et les symboles peuvent être des en-têtes de groupe, ainsi que des caractères alphabétiques.

Système permettant d'utiliser les caractéristiques de formatage de l'élément parent lorsqu'elles ne sont pas définies dans l'élément enfant. Il existe deux types d'héritage : l'héritage de liste de caractéristiques et l'héritage de catégorie.

Elément qui ne commence pas ou ne termine pas une ligne. Certaines catégories ne sont pas applicables aux éléments en ligne.

Equation qui apparaît dans le flux de texte sans espace de séparation vertical.

Terme XML qui fait référence au document lui-même et qui est constitué d'un balisage et du texte.

Type de graphique qui inclut des métadonnées et favorise l'interactivité. L'ajout de zones dynamiques, la manipulation par l'utilisateur (la rotation ou la sélection de certaines parties de l'image, par exemple) et la visualisation d'animations générées par logiciel sont des types d'interactivité possibles. Dans Arbortext Editor, les graphiques intelligents s'affichent dans un afficheur intégré et s'accompagnent d'une barre d'outils qui permet de modifier l'affichage du graphique. Les graphiques intelligents peuvent également incorporer des affichages prédéfinis auxquels vous pouvez vous lier. Le format ISO, format graphique de Arbortext IsoDraw, est un exemple de graphique intelligent.

Partie d'une déclaration de type de document qui contient les déclarations autres que celles de la DTD externe.

Tableau des utilisateurs dans une session Arbortext Editor et leurs propriétés.

Nom de l'Organisation internationale de normalisation (International Organization for Standardization).

Numéro de la norme associé au SGML (Standard General Markup Language) par l'ISO.

Spécification décrivant un composant Java autonome et plug-and-play. Les Java Beans ne sont pas pris en charge dans Arbortext Editor.

Liste de répertoires utilisée par la machine virtuelle Java pour trouver les classes Java.

Fonction de la plate-forme Java permettant d'intégrer à une application le code natif (c'est-à-dire C, C++) et le code Java. Arbortext Editor utilise cette fonction comme support de son interface Java.

Type déclaré (en Java) d'une variable Java. Les huit types de données primitifs sont : boolean, byte, char, double, float, int, long et short.

Programme Java qui analyse les capacités des classes et des méthodes Java durant l'exécution.

Ensemble de programmes et de fichiers qui permettent d'exécuter des applications écrites dans le langage de développement Java. Reportez-vous aux Notes de mise à jour d'Arbortext Editor, Arbortext Styler et Arbortext Architect pour obtenir des informations sur la version JRE. L'environnement d'exécution Java est disponible sur le Web à l'adresse http://java.sun.com.

Disposition du texte et des espaces sur une ligne visant à aligner les marges droite et gauche de toutes les lignes.

Conditions contrôlant ou interdisant la présence de sauts de colonne ou de page entre des éléments.

Définition dans la FOSI (feuille de style pour le type de document Macros) d'une "tabulation" indiquant la position du texte.

Opération destinée à améliorer l'aspect d'une paire de caractères en réduisant l'espace qui les sépare.

Commandes programmées pour être exécutées quand une touche (par exemple, F1) ou une séquence de touches (par exemple, CTRL+D) est actionnée.

Code à huit bits (un octet) qui complète le code ASCII pour accepter des caractères et des symboles supplémentaires.

Répétition d'un caractère utilisée pour guider l'œil quand une ligne de caractères comporte un grand espace ; exemple : les points de suite dans une table des matières.

Espace entre les lignes de base des lignes de texte.

Les liens sont des éléments qui font référence à des destinations dans des documents et sur le Web. Des éléments de lien sont définis dans un fichier .dcf du type de document.

Une cible de lien est un emplacement du document courant ou l'URL d'un document local ou situé sur le Web qui peut constituer la destination d'un lien. Des éléments de lien cible sont définis dans un fichier .dcf du type de document.

Feuille de styles associée automatiquement à tous les documents figurant dans le même répertoire d'un type de document donné selon que son nom de fichier suit certaines conventions.

Partie d'un document Arbortext Editor qui est balisé en vue d'un traitement conditionnel.

Identificateurs utilisés par SGML, XML et HTML pour marquer la structure du contenu des éléments du document, communément représentés dans la fenêtre d'édition par une paire de balises ou une balise singleton. Inclut également des instructions de traitement.

Instructions qui définissent l'interprétation d'autres éléments. Les déclarations peuvent être utilisées pour définir des entités et pour créer la définition de structure formelle d'un document.

Informations sur les données qui doivent être conservées, mais ne figurent généralement pas dans un document formaté. Par exemple, il peut s'agir de l'historique des versions ou du nom de l'auteur.

Une lettre ou une chiffre sélectionné contenu dans le libellé d'un article du dialogue. Le système active l'élément de boîte de dialogue associé au mnémonique chaque fois que l'utilisateur appuie sur la touche qui correspond au mnémonique ou utilise la combinaison Alt+touche. Les mnémotechniques fournissent un moyen rapide pour l'utilisateur de se déplacer vers un article du dialogue donné en utilisant le clavier.

Noms qui peuvent être utilisés comme valeurs de l'attribut de la couleur à la place des valeurs RGB numériques. Les couleurs nommées Arbortext valides sont aqua, black, blue, brown, gray1, gray2, gray3, gray4, gray5, green, lime, maroon, navy, olive, orange, red, teal, white, yellow et violet. (Pour des raisons de compatibilité ascendante, gray est traité comme un synonyme de gray3.) Parce que les couleurs nommées sont optimisées différemment pour l'affichage UNIX et Windows, les valeurs RGB par défaut pour quelques-unes des couleurs nommées varient entre les deux plates-formes.

Dans une FOSI, catégories qui ne peuvent être appliquées qu'une fois pour un élément donné. Les catégories non répétitives comprennent entre autres police, interlignage et césure. Si une catégorie non répétitive est indiquée plusieurs fois, seule la dernière valeur indiquée est retenue.

Quand le contenu n'est pas composé de caractères de données standard, une déclaration de notation indique au système de traitement comment le contenu doit être traité. Elle déclare quels sont les éléments qui doivent être utilisés dans les documents sans qu'ils perdent leur notation unique.

L'occurrence d'un élément dans son élément parent peut être utilisée pour indiquer un formatage distinct. Arbortext Editor prend en charge les occurrences first, last, notfirst, notlast, middle, one, only et all. Une occurrence peut comporter un formatage différent des autres. Par exemple, le premier paragraphe qui suit un titre peut ne pas comporter de retrait, alors que tous les autres paragraphes de l'élément parent sont mis en retrait.

En typographie, situation dans laquelle la première ligne d'un paragraphe commence au bas d'une page, le reste du paragraphe apparaissant au début de la page suivante.

Dans une FOSI, il s'agit du nombre de lignes qui doivent rester ensemble en bas d'une colonne.

DTD pour toutes les FOSI (feuilles de styles), fondée sur la Spécification de sortie (OS) MIL-PRF-28001C.

Composant d'Equation Editor qui contient les versions réutilisables des symboles et des fonctions fréquemment utilisés. Il peut être personnalisé selon les préférences des utilisateurs.

Entité de fichier externe. Elle permet de référencer un fichier de déclarations d'entités ou de références à d'autres fichiers de déclarations d'entités.

Programme informatique qui lit ou suppose une déclaration SGML ou XML, puis lit le type de document afin d'apprendre des règles de balisage spécifiques et détermine si le document est conforme.

Zone de mémoire où sont stockés temporairement le texte et/ou les éléments copiés ou coupés. Dans certains logiciels, cette zone est appelée presse-papiers.

Parsed Character Data, données de caractères analysées. Texte dans lequel le parseur vérifie que les éléments imbriqués ont bien été résolus.

Portable Document Format, format de document transférable. Format de fichier Adobe qui permet l'affichage sur plusieurs plates-formes des documents formatés à l'aide d'une application comme Adobe Acrobat Reader. Les fichiers PDF conservent le formatage des documents source, comme les polices, les couleurs et les images.

Page Description Language, langage de description de page Langage de programmation qui décrit l'apparence à l'écran d'une page contenant du texte, des graphiques et une image exemple. Il est utilisé pour transmettre une description de document de haut niveau, indépendante du périphérique, entre un système de composition et un système d'affichage.

Lorsque le suivi des modifications est activé, tout ajout ou suppression de texte ou de balise est repéré et peut être accepté ou rejeté.

Noms qui peuvent être systématiquement associés à des sections de document lors de la composition de documents sur le Web. Les noms utilisés durant la composition sont déterminés par la feuille de style Arbortext Styler ou par les balises d'instruction de traitement insérées dans chaque section du document. Quand les documents sont publiés, chaque section est enregistrée dans un fichier HTML.

Unité typographique fréquemment utilisée pour exprimer une mesure verticale. Un pica contient 12 points.

Séquence de filtres exécutant une tâche en plusieurs étapes. Chaque filtre prend des entrées et produit des sorties qui sont transmises au filtre suivant (ou aux filtres s'il y a plusieurs branches) du pipeline. Le pipeline est configuré par un document de configuration du composeur (.ccf). Un pipeline de filtre est un système fermé avec une entrée (source) et une sortie (sink) bien définies.

Unité typographique très petite généralement utilisée pour mesurer le corps du texte. Dans Arbortext Editor, un pouce équivaut à 72,27 points.

Espacement vertical ajouté après un élément en plus de l'interlignage.

Formatage Asis, qui respecte les sauts de ligne et les espaces de la source.

Dans une FOSI, espacement vertical ajouté avant un élément en plus de l'interlignage.

Instructions rédigées dans le langage du système de traitement et qui l'invite à effectuer une opération. Contrairement aux autres types d'éléments, les instructions de traitement sont propres à un système, et généralement à une application. Elles doivent être modifiées si le document est traité différemment (par exemple, formaté dans un style différent) ou sur un autre système qui peut les ignorer.

Lectorat ou application cible spécifique d'un composant (par exemple, novice ou Windows). On appelle "profil appliqué" un profil associé à un élément.

Nom générique donné à une catégorie de profils (par exemple, user level ou operating system). Utilisez des classes de profils pour regrouper les profils connexes.

Police dans laquelle les caractères ont des largeurs différentes.

Dans une FOSI, élément en contexte pour lequel il n'existe aucun élément correspondant dans le type de document. Les pseudo-éléments peuvent être subdivisés en pseudo-éléments de formatage et pseudo-éléments de programmation.

Chaîne de caractère rendue publique, à un format particulier, qui identifie une entité ou une notation pour permettre son utilisation dans des systèmes différents.

Dans les FOSI, catégorie répétitive qui contrôle automatiquement la production d'éléments graphiques à partir d'un élément.

Alignement horizontal des blocs de texte par rapport aux marges. Les quatre types de cadratinage pris en charge sont : flush gauche, flush droit, décalage à gauche et décalage à droite. Les valeurs de cadratinage FOSI peuvent être remplacées par des éléments utilisant l'attribut xml:space dans les documents XML.

Semblable à un signet, sauf que les quickmarks n'ont pas de nom et qu'ils sont limités à un par document.

Replaceable Character Data, données de caractères remplaçables ; cette expression signifie qu'elles ne contiennent que du texte et des entités.

Noms de référence d'identificateur utilisés pour indiquer un identificateur de balise utilisé ailleurs. Dans le cas des références croisées, par exemple, Arbortext Editor fait appel à l'identificateur déclaré (ID) de la balise pour situer la balise spécifiée. Arbortext Editor fait correspondre les noms de l'identificateur référencé avec la balise appropriée.

Zone rectangulaire sur une page définie par l'élément region. Une zone apparaît dans une sortie composée comme une impression ou un PDF ; elle est définie comme un élément de la mise en page dans une feuille de styles FOSI ou XSL-FO. Ses attributs spécifient des caractéristiques comme le contenu, la taille, la position et l'orientation. Dans FOSI, une zone peut être définie dans le cadre d'une pagespec ou rectopg, versopg, rectobb, versobf, and blankpg. Dans une feuille de style XSL-FO, une zone est définie comme étant l'un des objets de zone, par exemple fo:region-start et fo:region-end.

Caractères spéciaux utilisés dans les recherches pour remplacer des chaînes de texte comportant des propriétés communes.

Table spécialisée d'un plan DITA utilisée pour identifier des rubriques liées.

Voir table de relation.

Dans une FOSI, catégories qui peuvent être indiquées plusieurs fois. Les catégories répétitives sont entre autres use text (utiliser le texte), save text (enregistrer le texte), ruling (ligné) et enumeration (énumération).

Couche logicielle qui met en œuvre des comportements communs à plusieurs adaptateurs de système de gestion de contenu. Les adaptateurs individuels offrent des fonctions spéciales supplémentaires en enrichissant la structure.

Document XML intermédiaire produit à partir d'un plan DITA et contenant l'ensemble des contenus référencés dans le plan. Le document résolu peut s'utiliser pour des opérations telles que vérification orthographique, recherche/remplacement et développement de feuilles de style.

Boîte de dialogue Arbortext Editor comportant différents onglets qui permettent d'insérer un nouveau contenu ou de modifier un contenu existant dans les documents DITA. Le Gestionnaire de ressources permet d'insérer des références de rubrique, des références de contenu, des images, des liens, des références croisées, etc.

Une chaîne de caractères de 3 chiffres hexadécimaux qui spécifie les valeurs d'intensité du rouge, du vert, et du bleu (RVB) qui définissent une couleur. Chaque valeur est un nombre hexadécimal de 0 à FF (de 0 à 255 décimal), où 0 représente l'intensité minimum (0 ou 0 %) et FF l'intensité maximale (255 ou 100 %). Par exemple, #00AAFF spécifie une couleur ayant un composant rouge de 00 (0 ou 0 %), un composant vert de AA (170 ou 66,67 %) et un composant bleu de FF (255 ou 100 %).

Dans les tableaux, l'ordonnancement principal par rangée consiste à commencer par la cellule supérieure gauche d'un tableau et à continuer horizontalement de gauche à droite. En fin de ligne, la cellule suivante est celle située à l'extrême gauche de la ligne du dessous, et ainsi de suite de gauche à droite. La dernière cellule est la cellule inférieure droite du tableau.

Egalement appelé document de démonstration. Document fondé sur le type de document que vous avez choisi et qui contient le balisage et le texte.

Dans les FOSI, catégorie répétitive qui enregistre le contenu des éléments, la valeur des attributs ou le texte produit pour l'insérer ailleurs dans le document.

Interface utilisateur simple pour XML. SAX est une interface utilisateur basée sur un événement. En tant que telle, cette interface renvoie des événements de validation (comme le début et la fin des éléments) directement à l'application via des rappels. L'application ne manipule pas d'arborescence externe. En revanche, elle implémente des gestionnaires pour traiter les différents événements, tels que startDocument et startElement.

En tant que variante de CDATA, SDATA autorise délibérément les codes d'échappement dépendants du système. Cette propriété a deux conséquences :

Empattement situé à l'extrémité d'un trait dans une police particulière. Certaines familles de polices comportent des sérifs ; d'autres sont dites "sans sérif".

Standard Generalized Markup Language, langage de balisage généralisé standard ; norme internationale décrivant comment baliser le contenu des documents indépendamment de leur format. Ce langage, qui ne comporte pas de particularités système ou de traitement, est un langage de balisage portable.

Menu abrégé accessible par clic droit et qui contient les opérations fréquemment utilisées en fonction de l'endroit où se trouve le curseur.

Filtre d'un pipeline de composition qui produit une sortie (comme un document DOM ou un fichier HTML) en dehors de ce pipeline. Un filtre sink pur ne génère pas de sortie SAX. Egalement appelé sérialiseur.

Lettres capitales dont la taille est plus proche de la hauteur de x d'une police que de celle des capitales normales.

Processus DITA permettant de créer de nouveaux types d'informations et de décrire de nouveaux domaines d'informations basés sur des types et des domaines existants.

Terme utilisé dans la Spécification de sortie pour désigner le concept appelé "valeur de test" dansArbortext Editor. Une valeur de test permet de tester la valeur d'un attribut dans un document pour déterminer l'attribut à appliquer. Par exemple, une FOSI peut tester si un attribut est en mode brouillon ou final et ajuster l'interligne en conséquence.

Opération d'édition (par exemple, insertion, modification ou suppression) des balises qui constituent la structure d'un document.

Editeur qui fournit des balises initiales ou finales qui s'imbriquent les unes aux autres permettant ainsi la mise en application de règles de contexte.

Formatage de texte appliqué à un élément identifié. En terminologie FOSI, un style est appelé un e-i-c.

Un style de caractère (ou style en ligne) définit les caractéristiques du texte, comme la police, la position ou l'épaisseur. Un style de paragraphe (ou de bloc) définit l'espace avant et l'espace après. Un style intègre un "contexte", à savoir un ensemble de propriétés sur lesquelles il est basé et éventuellement des paramètres de style local supplémentaires comme ceux de la liste de caractères e-i-c).

Propriété d'un style dont la valeur est "paragraph" ou "character". Un style de paragraphe est un style qui est obligatoirement suivi ou précédé d'un saut de ligne (ou de colonne, ou de page) ; en terminologie FOSI, il "produit un bloc". Les styles en ligne sont des "types de caractères" ; ils modifient directement les lettres et les symboles.

Collection de paramètres de styles qui définissent l'aspect d'un document. Exemples de types de feuille de style génériques utilisés dans Arbortext Editor : application, document, locale, éditeur courant et impression courante.

Instruction de traitement dans une FOSI ou une feuille de styles XSL qui définit le titre de la feuille de styles et les types de composition auxquels elle s'applique. Le type de composition détermine dans quelles boîtes de dialogue la feuille de styles peut être sélectionnée et le titre sous lequel elle apparaît dans la boîte de dialogue. L'instruction de traitement est placée après la déclaration DOCTYPE, mais avant le premier élément du document.

Dans les fichiers XSL, elle prend la forme :

Dans les FOSI, elle prend la forme :

Catégorie de feuille de styles non répétitive d'une FOSI, qui définit si le contenu d'éléments va apparaître dans un document.

Un paramètre substituable dans les définitions des alias. Par exemple, $1 désigne le premier paramètre sur une invocation d'alias.

Représentation graphique de la chaîne de caractères des éléments, utilisée principalement pour identifier le type et l'étendue des éléments.

Icônes qui représentent des éléments et sont composées d'une balise initiale et d'une balise finale. Du texte et des balises supplémentaires peuvent être placés entre les paires de balises.

Ensemble prédéfini de balises d'élément utilisées pour créer un document. Le type de document définit les sortes de modèles qui peuvent être utilisés pour créer la structure du document. Il s'agit du document initial, à partir duquel les auteurs créent d'autres documents. Il contient le balisage de base nécessaire au document terminé.

Document exemple dans Arbortext Architect. Lorsque vous testez un type de document, vous pouvez modifier des documents-test. Vous pouvez utiliser ces fichiers pour insérer des éléments et du texte et créer ainsi un document reposant sur votre type de document.

Permet de tester la valeur d'un attribut dans un document pour déterminer l'attribut à appliquer. Par exemple, une FOSI peut tester si un attribut est en mode brouillon ou final et ajuster l'interligne en conséquence.

Permet de représenter une expression ou un extrait de texte. Les entités de texte sont particulièrement utiles pour insérer des expressions ou des passages fréquemment utilisés (comme le nom d'une société) ou une expression qui risque de changer, comme le nom d'un produit ou un numéro de version.

Fonction en ligne permettant de consulter la définition, les synonymes et les antonymes des mots sélectionnés.

Mécanisme de l'architecture DITA par lequel une rubrique ou autre ressource est référencée à partir d'un plan DITA. Les références de rubrique peuvent contenir d'autres références de rubrique, ce qui facilite le développement de hiérarchies de navigation ou de tables des matières.

Voir référence de rubrique.

Filtre qui reçoit des entrées SAX et dirige des sorties SAX dans un pipeline de composition. Une fois son état initial défini, un filtre transformer pur ne reçoit pas d'autres données en entrée et n'a aucune incidence en dehors du pipeline. La plupart des filtres d'un pipeline sont de type transformer.

Norme internationale de codage des caractères basée sur une unité 16 bits et jeu de caractères international créé à partir de cette norme, tels que définis dans ISO/EIC 10646 UCS-2.

Système d'exploitation développé et détenu par AT&T Information Systems et utilisé sur des systèmes informatiques conçus pour de nombreuses applications. Ce système d'exploitation est un standard reconnu dans le domaine de l'informatique.

Uniform Resource Identifier, identificateur uniforme de ressource. Terme générique désignant les noms et les adresses qui font référence à des objets (sur Internet en général). Le type d'URI le plus courant est l'URL.

Uniform Resource Locator, localisateur uniforme de ressource. Projet de norme qui définit l'emplacement d'un objet ou serveur sur Internet. Voici des exemples d'URL :

Pour plus d'informations sur la prise en charge des URL dans les produits Arbortext, consultez la section Ouverture, référence et enregistrement de fichiers.

Dans une FOSI, catégorie répétitive utilisée pour définir du texte produit dans un e-i-c.

Utilise la valeur d'un attribut d'un document comme valeur d'une caractéristique de formatage ou comme texte. Par exemple, un attribut de document peut être utilisé dans la feuille de styles pour indiquer le nombre de colonnes ; un attribut pubno peut être inséré comme numéro de publication en pied de page.

Fichier contenant des mots absents du dictionnaire Arbortext Editor et auquel le vérificateur d'orthographe accède en complément d'autres sources d'informations. Ces dictionnaires sont généralement créés pour contenir un vocabulaire personnalisé ou des données propres à un organisme ou à un site.

Représentation ou stockage d'images sous la forme de segments de ligne.

Version prédéfinie d'un graphique intelligent incorporée dans ce graphique. Plusieurs affichages peuvent être définis dans le fichier graphique associé à un graphique intelligent.

Document converti de Ftree en document Arbortext Editor interne conforme à la DTD html. Vous pouvez utiliser les commandes ACL pour manipuler ce document avant qu'il ne soit produit.

World Wide Web Consortium. Consortium international fondé en 1994 pour développer des protocoles communs qui autorisent l'évolution du Web et garantissent l'interopérabilité. Le site Web de W3C est http://www.w3.org.

Format graphique qui peut être affiché par un navigateur Web. Les formats JPEG et PNG sont des exemples de formats graphiques optimisés pour le Web.

Une palette de 216 couleurs qui composent la Mosaïque réelle de palettes utilisées par les navigateurs Netscape Communicator et Internet Explorer. Cette palette est optimisée pour usage multiplateforme. En utilisant les couleurs de cette palette, on est assuré que les couleurs des documents publiés rendront de la même façon dans ces navigateurs sur toutes les plates-formes qui supportent un minimum de 256 couleurs affichées. (Quelques variances peuvent survenir dû aux différences dans les moyens par lesquels les moniteurs rendent des couleurs.)

Abréviation de "Web-based Distributed Authoring and Versioning" ; il s'agit d'un ensemble d'extensions du protocole HTTP qui permet aux utilisateurs de collaborer en modifiant et en gérant des fichiers sur des serveurs Web distants. Visitez le site http://www.webdav.org pour plus d'informations sur WebDAV.

Les utilisateurs de Windows Arbortext Publishing Engine et de Arbortext Editor peuvent ouvrir, modifier et enregistrer des documents WebDAV. Pour que vous puissiez utiliser les fonctionnalités WebDAV de Arbortext Editor, WebDAV doit être activé sur les serveurs auxquels vous accédez. Par exemple, IIS est configuré pour WebDAV lorsqu'il est installé. Apache est configuré pour WebDAV lorsque ModDAV est installé.

En typographie, situation dans laquelle la dernière ligne ou le dernier mot d'un paragraphe apparaît en début de page, la première partie du paragraphe s'affichant au bas de la page précédente.

Dans une FOSI, nombre de lignes qui doivent rester au sommet d'une colonne.

Langage de marquage pour la communication sans fil Type de document utilisé pour décrire des pages pour de petits appareils sans fil tels que téléphones cellulaires avec navigateurs. Pour plus d'informations, visitez le site http://www.wapforum.org/.

Hauteur de la lettre minuscule x dans une certaine police.

Moteur de traitement XSLT produit par le projet Apache.

eXtensible Markup Language, langage de marquage extensible Forme limitée de SGML conçue pour être servie, reçue et traitée sur le Web.

Mécanisme permettant de distinguer les noms d'éléments et d'attributs utilisés dans des documents XML en leur associant des URI particulières.

Variante du langage XSL (eXtensible Stylesheet Language) utilisé pour créer des feuilles de style contenant des objets formatés. Les feuilles de style XSL-FO définissent un modèle de mise en page et un vocabulaire pour exprimer ce modèle ; elles sont utilisées pour créer des impressions et des documents PDF.

eXtensible Stylesheet Language, langage de feuille de styles extensible. Langage utilisé pour créer des feuilles de styles qui appliquent des transformations de structure et un formatage aux données XML. Il comprend le langage de transformation XSLT et un jeu d'objets de formatage (FO) cible.

Variante du langage XSL (eXtensible Stylesheet Language) utilisé pour créer des feuilles de style contenant des règles de transformation pour les documents XML. Les feuilles de styles XSLT transforment le contenu d'un document XML dans un autre document XML ou dans un document HTML.